Présentation
Au début du XXème siècle, René Quinton affirmait que « l’eau de mer constitue le milieu originel où est apparue la 1ère cellule vivante ».
Un siècle plus tard, les découvertes récentes de la NASA (Barge et al, PNAS, 2019) lui donnent raison en confirmant que la vie est apparue dans les fonds marins. En effet, il y a environ 4 milliards d’années, autour des sources hydrothermales, de véritables protocellules ont pris naissance à partir de micro-gouttes d’eau de mer. Nous en sommes les lointains descendants.
L’eau ayant ainsi permis de créer de l’ordre à partir du désordre, on peut considérer qu’elle fonctionne comme la matière vivante, c’est à dire en entropie* négative (néguentropie).
* l’énergie est ce qui permet de faire bouger les choses tandis que l’entropie est ce qui permet de les faire évoluer, en donnant un sens au mouvement.


Le corps humain est constitué à 99% (en nombre de molécules) d’eau et de sels minéraux dont les proportions dans le plasma sanguin sont identiques à celles de l’eau de mer.
C’est pourquoi toute maladie est avant tout un problème dans les transferts d’eau et de minéraux, les tissus organiques ne faisant que refléter de manière visible une perturbation du flux vital d’eau et d’ions.
L’identité parfaite de l’eau de mer, milieu extérieur, et du liquide interstitiel, milieu intérieur où baignent les cellules de tout organisme vivant, est aujourd’hui un axiome. On peut aller plus loin. Certains physiciens, tels que Georges Lakhovsky, ont prétendu que « c’est parce que le milieu intérieur du noyau cellulaire est le calque parfait de l’eau de mer que nos cellules peuvent vibrer. Car cette eau de mer constitue un milieu idéalement récepteur et conducteur des ondes électromagnétiques captées ou émises par nos cellules ».
Cette constatation très curieuse, se trouva appuyée à l’époque par l’autorité du Pr d’Arsonval qui présenta déjà en 1936 à l’Académie des Sciences les travaux de ce physicien. Les dernières avancées de la physique de pointe (électrodynamique quantique, théorie quantique des champs, domaines de cohérence de l’eau) sont en train de confirmer effectivement que notre corps est essentiellement de nature électromagnétique.
Et pourtant, comme le rappelle le Pr Marc Henry (CNRS, Univ. Strasbourg) dans son ouvrage L’eau morphogénique (2020) : « si la révolution quantique s’est imposée en physique puis en chimie, la biologie peine encore à mettre du quantique dans le fonctionnement de la cellule. Une telle réticence prive la médecine d’outils fantastiques basés sur les lois quantiques et non sur la physique approximative du XIXème siècle qui règne encore en maître incontesté dans les laboratoires de biologie ».

Eau de mer
L’eau de mer puisée dans des zones privilégiées, contribue à ramener à l’équilibre ionique notre milieu originel marin. Presque tous les éléments du tableau périodique sont présents dans l’eau océanique dans des proportions semblables à celles du plasma sanguin.
Le sérum de Quinton sous forme isotonique ou hypertonique est ainsi utilisé dans de nombreuses applications en rapport avec la santé, le bien-être, la cosmétique, etc


Algues
Les algues contiennent de nombreuses substances bioactives : par exemple, des phlorotannins à activité antioxydante, des polysaccharides sulfatés à action antivirale ou antitumorale, des alginates, des protéines fonctionnelles, des pigments protecteurs, des vitamines pour renforcer le système immunitaire, etc
L’exceptionnelle variété d’information transmise par ces molécules constitue sans aucun doute notre meilleur atout santé, en particulier face aux maladies dites de civilisation (incapacité de notre organisme à traiter l’information pour son développement et sa régénération).


Pourquoi une synergie algues/eau de mer ?
Information et néguentropie sont 2 aspects isomorphes de la puissance organisatrice d’un système. La néguentropie est celle qui fait et l’information est celle qui dirige ce qui fait. D’un point de vue thermodynamique, on comprend alors pourquoi l’association des algues (information) et de l’eau de mer (néguentropie) accroît les bienfaits des 2 éléments pris séparément aboutissant au nouveau concept de syntropie.
L’eau cellulaire des algues ou les extraits d’algues dilués dans de l’eau de mer contenant des minéraux sous forme colloïdale, présentent un large spectre d’action. Cette symbiose semble favorisée par des procédés de dynamisation de l’eau ou par la présence de micro-organismes marins efficaces (EM-M).